LIM DO SAN
IM CHANGKYUN ៸៸ MONSTA X
ÂGE
24 ans
FILIÈRE
astronomie
NAISSANCE
17 juin 1996.
CLUB(S)
astronomie & scientifique
ORIGINES
coréennes
FINANCES
très moyenne
SEXUALITÉ
hétérosexuel
STATUT
célibataire endurcit, passe plus de temps à draguer qu'autre chose
SOMETHING IN ME MATCHES THE EMPTINESS OF THE SKY.
ALL ABOUT ME ៸៸
la banalité... le cliché. voilà comment on aurait pu décrire le début de ta vie. pourquoi? simplement parce que c'était une vie sans histoire, sans soucis apparents, sans rien qui ne laisse présager le bordel monumental que cela deviendrait. enfant plus que désiré, tu es né dans une famille très modeste, menant une vie un peu difficile, mais remplie de joie et de bonne volonté. ta mère, mère au foyer et ton père, travaillant sur divers chantiers, l'argent était loin, très loin de coulé à flots, mais ils s'en contentaient. enfant calme, doux et toujours en train de sourire, tu avais tout, pour continuer dans le cliché, du bébé parfait. dès le début de ton existence, tu fus choyé, chouchouté, gâté, voir pourris gâté même. en toutes circonstances, et malgré le peu que tes parents pouvaient avoir, ils c'étaient toujours saignés, ils avaient toujours tout fait pour que tu ne manques de rien, pour que jamais ce sourire ne s'éloigne de ton visage doux et fragile... pour que tu restes éloigner de la dure et triste réalité... mais ne nous étalons pas sur ce sujet. dès ton plus jeune âge, tes parents remarquèrent les capacités qui te semblaient innées. très doué à l'école, ta soif d'apprendre semblait inépuisable, tout comme ton assiduité. toujours le nez dans les livres, tu étais à l'époque un garçon timide et un peu solitaire, préférant lire des livres ou étudier, au détriment des autres activités que pouvaient adorer tous les autres jeunes de ton âge, ce qui te valut pas mal de moqueries, voir d'être persécuté...

si pendant les premières années, cela t'a plutôt affecté, tout cela t'est rapidement passé. pour quelles raisons, me direz-vous ? les brimades sont pourtant des choses assez difficiles a supporté, et encore plus à oublier... simplement parce qu'un jour, alors que t'avais quoi, seizes ans, à l'époque, à tout casser, tu as rencontré une fille, et grâce à elle... ta vie à complètement changer. la fille en question, elle était dans ta classe, depuis plusieurs années déjà, mais trop enfermé dans ton truc, tu ne l'avait jamais remarquée. d'apparence aussi asociale et aussi assidue que toi, vous aviez tous deux tendances à vous isoler dans les mêmes endroits, cherchant le calme et la tranquillité pour éviter les brimades. il aura fallu attendre ce fameux jour, en cours de chimie, où ton prof de l'époque décida qu'il serait une bonne idée de mettre en binôme les deux meilleurs élèves de la classe, pour que finalement, le dialogue s'installe entre vous. au départ, tout ce qu'il y eut, c'est des banalités, des choses uniquement en rapport avec les cours, et le projet, et puis, finalement, à mesure que les jours s'enchaînaient... de vraies discussions s'installèrent entre vous, et petit à petit, vous avez appris à vous connaître. découvrant que vous étiez complètement passionnés par les mêmes sujets, notamment l'astronomie et que vous partagiez les mêmes centres d'intérêts, vous vous êtes rapprochés, rapprochés jusqu'à ce qu'un jour,... au détour d'un couloir, lors d'un moment isolé, vous échangiez un baiser... un baiser qu'elle avait débuté, parce que toi, de ton côté, t'aurais probablement jamais eus le courage de te lancer...

c'est comme ça que tout a commencé. moqués à deux désormais, car tous les deux considérés comme des intellectuels enfermés dans leur monde, rien ne semblait pourtant vous atteindre, car enfin, vous aviez respectivement trouvé la seule personne avec qui vous aviez envie d'être. enfermé dans votre bulle, bulle renforcée par le tempérament de feu de ta petite amie, qui savait, contrairement à toi, se faire respecter, une idylle parfaite avait débuté et rien ne semblait en mesure de pouvoir la brisée. accrochés, l'un à l'autre, un lien d'amour puissant vous liant, on aurait pu penser que tout cela ne s'arrêterait jamais... mais comme un coup puissant asséné, comme une dégringolade violente, cette relation s'arrêtera indubitablement, laissant une cicatrice, un trou béant impossible a refermé...

c'est arrivé il y a environ cinq ans... à ce moment-là, nayoung venait d'avoir un grave accident de la route, accident qui la conduite à l'hôpital. c'est son frère jumeau qui t'annonça la nouvelle, et toi, complètement affolé et inquiet au possible, tu t'étais rendus dès que tu en eus l'autorisation, là-bas, pour être près d'elle, et t'assurer qu'elle allait bien. mais voilà,... rien ne se passa comme tu l'avais imaginé. au lieu d'être heureuse que tu sois là... elle te repoussa. enfin, non, précisément, c'est son père qui te repoussa assez vigoureusement, en t'assurant que sa fille refusait catégoriquement de te voir. incrédule, tu lui avait demandé pourquoi... comment est-ce que c'était possible, pourquoi elle réagissait comme ça… mais la seule réponse que tu pus obtenir, c'était, une nouvelle fois de rentrer chez toi et de ne surtout pas essayer de revenir. totalement perdu, désemparé, le cœur piétiné, brisé... en bon petit gars gentil, tu avais simplement obéi, et tu n'avais pas réessayé de la voir, bien que cela t'avais littéralement tué. tu lui avait envoyé une bonne centaine de textos, demandant pourquoi, qu'est-ce que tu avais bien pu lui faire, pourquoi elle refusait de s'expliquer... et puis, finalement, plusieurs semaines après, tu eus enfin les réponses que tu souhaitais... et elles furent loin, très loin d'être celles que tu attendais...

c'est elle qui est venue vers toi, ce jour-là. fraichement rétablie, mais encore convalescente, elle s'était pointée chez toi, un soir, sans prévenir. bien sûr, ta première réaction fut de la prendre dans tes bras, bien trop heureux d'enfin la revoir, et de constater qu'elle allait bien, mais le mouvement de recul qu'elle eut, pour t'en empêchait, annonçait déjà la suite des évènements à trois mille kilomètres. froide, distante, le regard vide... voilà comment elle était. elle se mit à enchaîner les mots, tous plus cinglants les uns que les autres, et toi, tout ce que tu fus en mesure de faire, c'est rester planter là, sans bouger, choqué et désemparé. elle était en train de te quitter... elle était réellement en train de te quitter, et toi, tu ne faisais rien pour l'en empêcher. t'étais tétanisé, pétrifié, tu ne savais pas quoi dire, pas comment réagir. ton cerveau avait grillé, il n'était plus en mesure de fonctionner convenablement désormais. et c'est comme ça que tout s'est fini... toi, planté là, bugué, et elle, ta chérie, l'amour de ta vie, qui s'éloigne en pleurant, emportant avec elle ton cœur, complètement en morceau, complètement brisé. quand elle eut disparu de ta vue, tu avais simplement refermé la porte, comme si de rien était, et... tu t'es effondré. te laissant tombé sur le sol, tel l'être faible et stupide que tu étais à l'époque, tu a craqué, t'as laisser les larmes coulées, jusqu'à ce que ton corps ne contienne plus la moindre eau à déversée, et après ça, c'était terminé... c'est comme si tu avais cessé d'exister.

cette rupture brutale te fit tomber bas, très bas, au point de sombrer dans une dépression nerveuse assez violente. pendant des mois, tu n'étais pas sorti de chez toi, restant enfermé dans ta chambre, à broyer du noir, refusant de faire quoi que ce soit. tes parents tentèrent absolument tout pour t'aider à sortir de là. ils t'envoyèrent voir un psy, psy que la plupart du temps, tu refusais de voir, car complètement énervé que tes parents te prennent pour un taré... et il te fallu du temps, énormément de temps pour pouvoir sortir la tête de l'eau, et pour que, finalement, toute ta tristesse, toute ta souffrance ne se change en haine... une haine incroyable, incommensurable, une haine qui s'encra en toi profondément, tellement profondément que du jour au lendemain, quelque chose se brisa finalement en toi... et ce quelque chose te fis irrémédiablement te réveiller.

terminé la déprime, terminé le gentil petit mec, le petit intello coincé, et bonjour la nouveauté... car pour être en mesure de tout oublier, pour pouvoir abandonné ton ancien toi, bien trop accroché à elle, à ton passé, il te fallait changer. opérant des changements drastiques, aussi bien physiquement que mentalement... et le petit do san, petit blond à lunettes, chétif, timide, devint l'exact opposé de ce qu'il était. cheveux noirs, tatouages, musculature développée, tempérament arrogant, ego exacerbé, et surtout, dragueur invétérer... voilà, voilà donc ce qu'elle avait pu faire de toi, juste parce-qu'elle t'avait lâchement abandonné... tous ces changements, toute cette mascarade, c'est uniquement pour camoufler le fait que, dans le fond, tu ne l'as jamais oublié que tu ne le pourrais jamais et qu'encore aujourd'hui, elle te manquait... ton pauvre petit cœur brisé ne cesserait sûrement jamais de battre pour elle, malgré tout ce que tu faisais pour le nier et te le caché. passionné depuis toujours par l'astronomie et tout ses à cotés, tu t'étais finalement lancer là-dedans, et du jour au lendemain tu t'es retrouvé à l'université. mais là, alors même que le premier jour de cours allait commencer... qu'elle fut ta surprise, ta foutue surprise, quand tu avais constaté qui était là, assise au premier rang, posée, n'ayant pas du tout changer malgré les années... " c'est pas possible, on se fou définitivement de ma gueule. " t'avais pensé, alors qu'une douleur dans ton cœur se réveillait et que d'un pas lent, tu passais à côté de là où elle était assise, avant de tracer ton chemin, sans réellement la regardé. persuadé que tes changements physiques étaient trop importants, et que du coup elle ne te reconnaîtrais probablement pas, t'as juste décidé de l'ignorer, de faire comme si de rien était.

encré profondément dans ta nouvelle personnalité, comme un nouveau rôle que tu jouais, l'ignorance que tu avais décidé de mettre en place à son égard fut finalement remplacée par un besoin constant de la faire souffrir, autant que toi tu avais souffert le jour ou elle t'avais jeter comme un vulgaire déchêt. enchainant les conquêtes, prenant un malin plaisir à les embrassés juste sous son nez, ton comportement devint exécrable, aussi exécrable que cette nouvelle personnalité dont tu semblais pourtant si fière. en parallèle de tout ça, t'étais l'un voir le meilleur élève de ta promotion, ton intelligence n'ayant d'égal que ton ego, désormais...

les années ont défilés, rien n'a changer. tu continues de la voir tous les jours, de la torturer, et savez vous ce qui est le pire, dans cette histoire ? c'est qu'en faisant tout ça, tu te faisais du mal à toi-même, parce-qu'en voyant certains regards qu'elle pouvait parfois te lancer... tu te rendais compte à quel point tu pouvais toujours l'aimer, et à quel point ton cœur se languissait d'être à ses côtés.

PERSONALITY ៸៸
gentil, enjoué, drôle, doux... tel était ton caractère, avant que tout ça ne se produise. garçon auparavant plutôt discret voir timide quand on ne te connaissait pas réellement, tu avais tout du petit intellectuel coincé. doué dans les études, tu étais celui dont on se moquait souvent, enfin, assez régulièrement, caché derrière ses lunettes, mais qui s'en fichait, car tout ce qui lui importait, c'était d'être à ses côtés. tu as été comme ça durant des années, et tu t'es dis que jamais cela ne changerait, mais finalement... c'est arrivé, créant cette cassure dans ton esprit et te faisant totalement vrillé. terminé le petit intello coincé, terminé le garçon réservé et bonjour à celui au caractère complètement exacerbé. changeant totalement, aussi bien physiquement, tu t'es mis à devenir orgueilleux, narcissique au possible, fêtard et surtout, extrêmement dragueur, le genre à ne pas pouvoir résister à n'importe quelle fille à son goût qui aurait pu lui passé sous le nez. pour autant, si tu as changé du tout au tout, pour oublier... ton assiduité en cours elle, est restée. c'est bien le seul fragment qu'il reste de ton passé.

GWASILJU
8E ANNÉE

BEHIND THE COMPUTER

suki ៸៸ 28 ans ៸៸ she/her ៸៸ france ៸៸ 7/7