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 Ahn Tae Yung

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MessageSujet: Ahn Tae Yung    Ahn Tae Yung  EmptyLun 26 Avr - 18:18


Ahn Tae Yung
Si je te dis merde... T'insistes, où il faut que je frappe ?
Nom : Ahn, noms de famille assez court, assez banal. Prénom(s) : Tae Yung. Peut-être que tes parents auraient dû t'appeler abruti, sut être plus judicieux, vu le morceau. Surnom(s) : Tes amis t'appelle juste Tae. Ou parfois, c'est juste toi, là. Après, y'a Batman, mais ça, c'est réserver à ta petite meilleure amie adorée. Âge : 25 printemps déjà, et oui. Date et lieu de naissance :12/01/1996, à Séoul of course. Origines : Ton père est Coréen, ta mère chinoise. Faites vos déductions. Nationalité : Coréenne Cursus universitaire : euh... Est-ce que le néant, ça compte ? Métier : T'es du genre à enchainer les p'tits boulots en fait. Tu n'en a aucun fixe, car tu t'ennuies et te lasse bien trop facilement des choses, comme des gens. En ce moment, t'es Barman, et ajouter à cela, t'a une mini notoriété insta, une mini d'environ 30 000 abonnés.... Orientation sexuelle : Hétérosexuel magle. Sorry misters, tu n'a yeux que pour les courbes féminines Classe sociale : Moyenne, mais on s'en contente. Tu veux t'investir dans une fraternité ? nope, il est plus étudiant le monsieur
IDENTITY CARD
Il parait que...



Il parait que... Tu fumes comme un pompier. C'est la vérité. Depuis un bon nombre d'années, la nicotine t'est aussi indispensable que de respirer. Un vice de plus à ajouté à ta liste qui ne fait que s'allonger avec les années. Il parait que... Tu passes ta vie à faire du sport. Encore bingo, c'est plus que vrai. Dès que t'en as eu les moyens, tu t'es investi dans la musculation, rêvant de te bâtir un corps puissant, assez puissant pour faire face à cet homme et arraché ta mère à cet enfer dans lequel elle était plongée.  Il parait que... tu adores cuisiner. Bwaaa perdu ! Non mais franchement, est-ce que t'as une tête de cuistot ? Que dalle oui. T'es un p*tain de fainéant là-dessus, en fait, si ta meilleure amie ne cuisinait pas, tu passerais ta vie à bouffer des nouilles instantanées. Rapide, pas cher, et bon... On demande quoi de plus franchement, hein ?  Il parait que... t'as une belle voiture. Encore perdu ! Décidément, vous êtes nulles... La seule chose que tu as, c'est une moto et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu l'adores, plus que de raison. C'est ton bébé, t'as dû économiser pendant des mois pour l'avoir, alors tu la bichonnais. il paraît que  T'es une star d'instagram. Ah, alors star c'est un bien grand mot, mais t'as une belle petite notoriété. Jouant les mannequins improviser photographier par les soins de ta baby, tu as un franc succès et cela semble bien partit pour durer... parfait pour ton égo démesuré Il parait que... Tu es un dragueur invétéré. Alors ça, malheureusement, c'est un fait avéré. Dès que tu as l'occasion de faire le charmeur, ou de te pavaner, tu ne te gênes pas et en deux-deux elles te tombent toutes dans les bras. Véritable don juan, tu prends les filles pour des jouets, que tu jettes une fois lâsser. Les relations sérieuses, c'est pas pour toi, et ça ne le sera sûrement jamais. Il parait que... t'as déjà trainé dans de sales affaires. Bam, encore faux, messieurs dames vous vous méprenez... C'est pas toi qui a fait des bêtises, c'est la miss Joo Ah, et toi, tu l'en as tirée, ne supportant pas ne serait-ce que l'idée de la voir sombrer. Encore aujourd"hui, tu la charries avec cette histoire, comme pour lui rappeler qu'elle n'a pas toujours été cette petite poupée parfaite comme ce que ses vidéos peuvent montrer. Il parait que... tu as déjà couché avec ta meilleure amie... Bingo. C'est la vérité vraie. Ce n'était pas prévu, y'avait absolument rien de prémédité... Un soir, vous vous sentiez tous les deux terriblement seuls et déprimé. Cherchant du réconfort, vous vous étiez enlacés, et après avoir échangé un regard lourd de sens... Vous vous étiez embrassés, et la suite, on la connaît. Faisant ensuite les autruches et choisissant de juste tout oublier, vous avez pourtant réitéré la chose, à de nombreuses reprises, si bien qu'aujourd'hui, c'était devenue monnaie courante, et cela ne vous faisait plus rien. La seule règle : pas de sentiments, juste du sexe, point barre. Interdiction de briser une amitié pareille pour ça... Tu ne le supporterais pas. Mais du coup, il parait que... T'es amoureux de ta meilleure amie.... Baaaaah, mais c'est quoi cette question sans déconner ? J'ai dis plus haut que les sentiments étaient prohibés, alors pourquoi demander ? Hein ? Quoi ? Parce que t'es un jaloux maladif, qui ne supporte pas qu'on s'approche de sa baby adoré ? Parce-que dès qu'elle essaye de mettre des photos un peut trop jolies d'elle sur instagram, tu la sommes de les effacer sur-le-champ, et de foutre des colles roulés ? Parce-que, mine de rien, dès que t'es près d'elle, tu te sens entier, en paix, apaisé ? Arrêtez donc avec vos trucs de gonzesses esseulées... Les sentiments sont prohibés, c'est tout. Après... On connaît tous ton aversion pour l'autorité et ton gout pour briser les règles pas vrai ? ...
Dis nous qui tu es !
Si on devait décrire ton caractère en un mot, juste un petit mot, ce dernier serait probablement le suivant... Je-m'en-foutiste. C'est bien simple... Tu ne t'intéresses à rien en particulier, tu n’as pas la moindre passion, enfin, pas réellement, en dehors de la gonflette et de la glandouille intensive. Parfois, ton manque d'intérêt pour tout est si affligeant qu'on pourrait avoir envie de te baffer pour tenter de te réveiller. D'un tempérament assez colérique ,impulsif et ne supportant aucune forme d'autorité, tu as tendance à agir sur un coup de tête, laissant tes émotions te gouverner si l'envie t'en prenais ou si tu estimais que la situation l'exigeait. Incapable de maîtriser cela à cause de ton passé, tu as aujourd’hui tendance à taper sur tout ce qui bouge, à la moindre provocation, comme pour extérioriser toute la haine et la frustration que tu avais en toi, face à ce monstre que tu ne pourrais probablement jamais terrasser. Dans le fond, en creusant et en cherchant bien, à l'intérieur de toi, on pouvait découvrir un pauvre garçon blessé et torturé, qui se protégeait, ne voulant plus jamais souffrir comme par le passé. Cet aspect-là de ta personnalité, il n'y a qu'elle qui le connaissait et qui le côtoyait. En parlant d'elle, voilà un autre trait de ta personnalité... Emmerdeur invétéré. Tu passes ton temps à la taquiner, à la traiter de bébé, à la taquiner sur sa taille, la traitant même de microbe face à ton mètre quatre-vingt-quatre bien tassé, tu finissais toujours tout de même par la prendre dans tes bras, la serrer fort, et lui dire qu'elle était ton microbe préférer. Sous tes airs de gros dur, complètement débile, et dragueur invétérer, il y avait heureusement un cœur qui battait, et tu restais quelqu'un de gentil et doux, si on prenait le temps d'essayer de te connaître... Très imbusde toi même, tu est le genre de garçon qui passe sa vie à s'admirer et à ce prendre en photo




It's my life...
so whatever...

TW violence, violence conjugale


Par où commencer... Comment commencent les histoires habituellement... Il était une fois ? Ah non, merde, ça c'est pour les contes de fées. Ça ira jamais, surtout que cette histoire là, c'est loin d'en être un. Alors... Commençons juste par le commencement.

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Le soir où tu es né, il pleuvait. C'était une soirée particulièrement glaciale, particulièrement noire, comme si le temps en lui-même était déjà conscient que l'enfant qui naîtrait ce soir là aurait un bien cruel destin. Les longs couloirs de cet hôpital sont bien sombres, bien froids. Il ne semble pas y avoir âme qui vive, pas un bruit ne trouble le silence environnant, qui renforçait cette impression de froideur constante. Sauf qu'au bout d'un moment, ce silence de marbre fut perturbé par des cris. Ces cris, c'étaient ceux d'un bébé. Un bébé qui venait juste de venir au monde, qui venait à peine de commencer à respirer. - Comment-ose-t-il venir troubler la tranquillité de ces lieux - c'est l'écho qui semble raisonné tout autour de toi, alors qu'à peine, on te déposait dans les bras de ta mère, épuisée. Elle pleure, elle est heureuse que tu sois enfin là, elle s'est battue comme une acharnée pour ça. Ton père ? Il n'est pas là, et dans un sens, c'était une bonne chose, aussi bien pour ta mère que pour toi. Car oui, cet homme là... Tu le verrais bien assez tôt, malheureusement pour toi. Et tu allais vite te rendre compte que tu aurais aimé que ce ne soit jamais le cas.


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Des pleurs résonnent dans cette petite maison vide, à l'ambiance si particulière. Une ambiance... Comment pourrait-on la décrire ? Terrifiante ? Glaciale ? Froide comme la mort ? Ces mots semblent bien faibles pour la décrire. Pour toi, petit bambin, petit enfant de 5 ans, qui découvrait à peine la vie, c'est comme un cauchemar duquel tu ne te réveillais jamais. Un cauchemar qui se répétait, encore et encore sans qu'il n'y ait de fin. À chaque fois, toujours les mêmes protagonistes, toujours plus ou moins les mêmes scènes et toujours la même fin. Des pleurs. Du sang. De la douleur. Les fameux pleurs qui résonnaient dans cette fameuse maison, c'étaient ceux de ta mère. Elle pleurait à chaudes larmes, gisant, sur le sol. Du sang s'écoulait de sa bouche. Elle était couverte de bleus, de contusions diverses. Elle était dans un état dans lequel une mère ne devrait jamais ce trouvée. Et toi, tu es là. Tu viens de sortir de ta chambre ou tu t'étais réfugié, et tu la regardes. Tu ne comprends pas ce qu'il se passe, tu ne le comprends jamais réellement en fait. Mais instinctivement, quand tu la vois être si bouleversée, tu te mets à pleurer et tu cours vers elle, te réfugiant dans ses bras comme s'il s'agissait du seul endroit ou tu étais en sécurité. Encore une fois, ce monstre, qui te faisait si peur, avait frappé. Encore une fois, elle avait tout prit pour elle, elle avait tout encaisser, juste pour que toi, il te laisse en paix. Encore une fois... Elle t'avait protégé, au détriment de sa propre vie. Mais pour elle, il était hors de question de le laisser te toucher. Toi, le seul rocher qu'il l'empêchait de sombrer.  


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Sept années... Sept années, déjà que tu es sur cette terre. Sept années, qui ne sont pourtant rien dans une vie, surtout pour un début de vie comme le tien. Mais pour toi... Ces sept années sont comme un long tunnel sans fin. Un long tunnel sombre, dans lequel un être abject se cachait, tapis dans l'ombre, n'attendant qu'une chose, que tu fasses une erreur, une seule petite erreur, pour fondre directement sur toi et te dévorer. Quotidiennement, cet être s'en prenait à ta mère. Il s'amusait avec elle, il semblait chercher toujours une nouvelle façon de la faire souffrir, une nouvelle torture à lui infliger, pour lui faire payer... Mais payer quoi ? Le fait d'être sur cette terre ? Le fait d'exister ? Toi, pauvre gosse de sept ans, tu n'en avais pas la moindre idée. Toi, tu n'étais que spectateur de ces horreurs, un spectateur qui ne pouvait rien faire, un spectateur beaucoup trop petit et faible pour envisager la possibilité même de faire quelque chose pour aider cette femme qu'il aimait plus que tout au monde. Le pire, c'est que plus le temps passait, plus tu la voyait s'affaiblir, sombrer. Et plus elle sombrait, plus toi, tu remontais. Remonter où ? Simplement dans la liste, sur le palier de ceux qui devaient subir les horreurs du monstre affreux dont on ne fait que parler. Plus ça allait, plus il s'en prenait à toi aussi. Ta mère tentait de toutes ses forces de te protéger comme elle l'avait toujours fait. " Laisse-le ! C'est à moi que tu en veux alors ne le touche pas ! C'est juste un enfant !" Ces mots-là, tu les entendais depuis que tu étais enfant. Si au départ, ils n'avaient pas réellement de sens pour toi, plus le temps passait, et plus tu réussissais à les comprendre. Plus le temps passait, plus tu réalisais ce que ta mère avait toujours subit... Et plus le temps passait, plus ta haine contre cet homme grandissait.

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Encore une journée de plus, dans cette vie. Cette vie si misérable que ce ne devrait pas être permis. Cette vie que depuis toujours, tu subis, sans pouvoir rien y faire, sans être capable du moindre acte pour essayer de t'en sortir, t'enfuir. La violence avait continué, sans jamais s'amoindrir, ou s'arrêter. La seule différence par rapport à avant ? Désormais, toi aussi, tu devais subir. Subir les excès de colère de cet homme, les crises qui lui prenait, sans que personne ne comprenne pourquoi, ni comment. Toi aussi, tu subissais les coups désormais. Ta mère ne pouvais plus rien faire pour toi, elle était dans un tel état qu'il lui était impossible de s'opposer à lui, si tenter qu'elle ait réussit un jour. Elle n'était plus que l'ombre d'elle-même. Elle était si faible, si blessée, à cause, des coups répétés qu'elle ne sortait plus du tout de chez elle. Elle vivait prostrée chez elle, sans voir la lumière du jour, ou presque, et toi, ça te tuais. Tu n'étais encore qu'un gamin, mais tu comprenais tout ce qui se passait, et la voir dans cet état te mettait dans un état de rage que tu n'aurais jamais pensé éprouver un jour. Avec ta faiblesse d'enfant, tu étais bien incapable de la protéger, et cela te frustrait tellement qu'il t'arrivait souvent d'en pleurer, cacher dans ta chambre, sous ton lit, surtout quand tu l'entendais crier et tombée sous les coups de cet homme malfaisant. Coincé là, tout ce que tu pouvais faire, c'est subir, en essayant le plus possible d'aider ta mère à tenir, vous soutenant mutuellement malgré la douleur et la peur constante.

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Les années continuaient de défiler, inlassablement et ta situation ne semblais pas vouloir changer. Heureusement pour toi, durant toutes ces années d'enfer, il y avait une personne sur laquelle tu avais toujours pu compter. Une personne qui savait exactement ce que tu vivais, et qui comme toi, en souffrait. Cette personne, c'était celle qui était ta meilleure amie, ta moitié, rencontrée au jardin d'enfant, à l'époque ou toute cette folie n'avait pas encore commencé. Tout de suite proches, complices, vous rêviez de refaire le monde, de vous enfuir de cet enfer, de sauver vos mamans respectives de l'enfer qu'elles vivaient... Mais incapables de quoi que ce soit, vous vous contentiez d'avancer, ensemble, réchauffants vos cœurs respectifs avec l'affection mutuelle que vous vous portiez. Passant votre temps à vous chamailler pour mieux vous réconfortés ensuite, elle devint réellement ta bouée... Grâce à elle, tu avais envie de croire que tu pourrais avoir une meilleure vie, t'avais envie d'avancer... De tout faire pour vous sortir de ce merdier... Sauf que là, encore une fois, ce n'est pas toi qui as œuvré, mais bien elle, ton petit "bébé" que tu avais toujours protégé. À l'âge de 19 ans, tu avais finalement quitté la maison, t'enfuyant de cet enfer permanent quasiment emmené de force par ta meilleure amie. Au départ plus que réticent à l'idée de laisser ta mère seule avec ce monstre, tu t'étais finalement résigné après qu'elle t'aies dit elle-même de t'en aller, et de vivre ta vie, sans te soucier d'elle, car tout allait bien aller.... Et tu étais juste parti, sans te retourner, à la fois frustré, triste, mais terriblement heureux à l'idée de ne plus jamais revoir cet être abject qui n'avait jamais rien eu d'un père, et que tu avais souvent, malgré toi, rêver de supprimer...

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On va directement passer à ta vie d'aujourd’hui, parce que là, je sens que cette histoire commence à être bien trop longue, et qu'on va en perdre la moitié. Pas du tout assidue à l'école et ayant un véritable problème avec l'autorité, tu as lâché tes études, décidé à bosser pour gagner ta croûte et ainsi arrêter de vivre sur le dos de ta meilleure amie et ses vidéos. Doté d'un caractère bien particulier, tu as cependant bien du mal à te poser quelque part sans te lasser, et sans avoir envie de coller une droite à ton boss, quand il osait mal te parler ou simplement quand l'envie t'en prenais. Vingt-cinq années que tu es sur cette terre déjà, et il semblerait que tu ne sache toujours pas quoi faire de ta vie. Habitant toujours avec Joo Ah, tu ne te résignes pas à partir, simplement parce que tu ne peux pas t'empêcher d'être constamment après elle, pour la protéger ou simplement l'embêter. Cette fille, c'est ta petite sœur, ta meilleure amie, c'est littéralement toute ta vie... C'est probablement pour toutes ces raisons que personne d'autre n'a encore jamais réellement partagé ta vie.

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Ahn Tae Yung

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